Incohérence dans Plus belle la vie, encore plus belle sur TF1 : l’épisode du 3 septembre 2025 dévoile que Léa Nebout a été au lycée à Marseille en 2005... alors qu’elle n’est arrivée à Marseille qu’en 2012 dans la série originale ! Un détail qui a fait bondir les fans.
Plus belle la vie, encore plus belle sur TF1 n'est plus à une incohérence près ! Il y a d'abord eu le vieillissement de Thomas Marci, voulu par son interprète Laurent Kerusoré puis Barbara (Léa François) qui a bu à l'écran alors qu'elle était alcoolique. Dans l'épisode de ce mercredi 3 septembre 2025, les téléspectateurs vont découvrir que Léa Nebout était au lycée St Côme avec Perrot et Inès, la soeur d'Idriss lors de l'année scolaire 2004-2005. Or, dans Plus belle la vie sur France 3, Les Nebout sont arrivés à Marseille avec Léa interprétée à l'époque par Charlotte Deysine et Valentin (Louis Duneton présent dans Tout pour la lumière).
Plus belle la vie : Les internautes pointent du doigt que Léa Nebout n'était pas au lycée à Marseille en 2005 !
En 2012, Léa, âgée de 15 ans, quitte donc la banlieue parisienne pour s'installer au Mistral avec son beau-père Patrick (Franck Sémonin) affecté au commissariat du Mistral, et Babeth (Marie Réache) qui a trouvé une place d'infirmière à l'hôpital Marseille-Est. Elle est alors inscrite au lycée Vincent Scotto, où elle se lie d'amitié avec Jonas Malkavian (Geoffrey Piet). Cette incohérence a hérissé le poil des internautes. Ils n'ont pas manqué de souligner cette grosse erreur des scénaristes. "Léa Nebout, plus grande réécriture de personnage", "Comment ça, Léa était au lycée en 2005 ?! Elle était au lycée en 2012. Ils oublient un peu trop l’ancienne série", "Léa était à l'école à Marseille en 2004 mais ils n'étaient pas à Paris les Nebout ?", s'interrogent sur X les aficionados de la série de France 3. "Je n'aime pas du tout les changements du personnage de Léa sans explication préalable au public", écrit un autre.
Plus belle la vie : Marie Hennerez avait choisi de vieillir Léa Nebout, rappelle une internaute concernant cette incohérence
Le compte de fans Léa Nebout-Boher croit détenir l'explication. "Ils n’ont pas oublié l’ancienne série, puisque c’est elle-même qui avait choisi de faire vieillir le personnage de Léa ! Sur France 3, sa scolarité était déjà datée de 2004-2005 à la suite de ce vieillissement ! Ce changement a eu lieu en 2016 il ne date pas d'aujourd'hui", a expliqué celle qui tient ce compte.
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Plus belle la vie (spoiler) : ce lien qui unit Léa et Idriss, et c’est inattendu…
Malgré la liberté de Léa, Idriss est rattrapé par son passé dans la suite de la série Plus belle la vie, encore plus belle. Dans le courant du mois de septembre 2025 sur TF1, il découvre un lien inattendu qui le lie à Léa.
Au cours des prochains épisodes de la série Plus belle la vie, encore plus belle , Léa est toujours amnésique concernant le jour de l’accident, mais elle est sauvée puisque Jean-David Perraut a retiré sa plainte. C’est donc une bonne nouvelle pour la fille de Patrick (Jérôme Bertin), qui n’ira donc pas en prison.
Cependant, dans le courant du mois de septembre 2025 sur TF1, la professionnelle de santé, pour tenter de comprendre ce qui se passe, veut essayer une méthode. Léa pense que son trouble est une amnésie dissociative. Le cerveau, lorsqu’il subit un événement traumatisant, bloque l’accès aux souvenirs pour se protéger. La médecin va donc tenter une hypnothérapie pour les débloquer et ainsi explorer son passé.
Plus belle la vie : ce souvenir choc pour Léa
La fille de Babeth (Marie Réache) se trouve dans un couloir où des pas résonnent. Elle aperçoit une porte au loin et tente de l’ouvrir en s’en approchant, mais elle n’y parvient pas. Elle essaie une seconde fois, sans succès. Cependant, près de la porte, elle entend des rires… et ce son ne lui est pas inconnu. « Je connais ce rire », dit-elle.
Dans le même temps, Idriss (Habib Gino Guabintani), au cours de son interrogatoire, entend le prénom d’Inès, sa grande sœur. Cette dernière était présente à l’Institut Saint-Côme et a disparu cette année-là. Il souhaite enquêter pour savoir s’il y a un lien. Il demande alors l’autorisation à Patrick, mais le commandant lui interdit de prononcer son nom en dehors du cadre de l’enquête.
Plus belle la vie : Idriss tombe de haut
Le policier se rend donc chez le directeur de l’établissement et lui demande s’il se souvient de Léa Leroux-Nebout. Son neveu et elle n’étaient pas très proches. En revanche, Inès et Léa (Marie Hennerez) étaient très amies, voire plus. À l’époque, elles se fréquentaient. Inès est donc le lien qui unit Léa et Idriss. Cependant, le directeur annonce que la sœur du policier a disparu peu de temps après leur rupture. Léa a-t-elle un lien avec cette disparition ?
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EXCLU "J'ai des projets donc, c'est vrai que..." : Lola Marois se confie sur son avenir dans Plus belle la vie, encore plus belle
Actuellement au coeur d'une nouvelle histoire importante dans "Plus belle la vie, encore plus belle", Lola Marois a accepté de se confier pour "Ecojoy.online". La comédienne s'est notamment livrée sur ce qui est le plus dur pour elle en tournage ou encore son avenir au sein de la série.
En janvier 2024, la série Plus belle la vie a été récupérée par TF1 après avoir été déprogrammée de France 3 où elle était diffusée depuis près de vingt ans. Si des petits nouveaux ont fait leur arrivée pour cette version 2.0 appelée Plus belle la vie, encore plus belle, des anciens ont également suivi, à l'image de Lola Marois.
La comédienne y incarne le personnage d'Ariane depuis 2017 et elle n'est pas peu fière de son évolution. Justement, la policière au tempérament bien trempé est actuellement au coeur d'une nouvelle histoire puisqu'elle vient d'apprendre qu'elle est tombée enceinte, à l'âge de 40 ans, de Djawad (joué par David Baiot). Une intrigue "troublante" à jouer pour Lola Marois comme elle nous l'explique en interview pour Ecojoy.online, au milieu d'autres confidences.
Vous êtes au cœur d’une nouvelle arche dans Plus belle la vie, dans laquelle votre personnage, Ariane est enceinte. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Mon personnage a 40 ans, elle découvre qu'elle est enceinte de Djawad, alors qu'elle est flic, qu'elle donne tout pour son travail, alors qu'elle a une fille de 16 ans qu'elle avait abandonnée à la naissance et qu'elle est en train de reconstruire un lien très fort avec elle. Donc, pour elle, c'est un peu une cata, parce que déjà, avec Djawad, c'est quand même très je t'aime, moi non plus, ils sont dans une relation très fusionnelle et très conflictuelle. C'est l'amour vache, on va dire. Ariane ne voulait pas être en couple, elle ne voulait pas se poser. Donc, ça ne va pas du tout dans sa relation avec Djawad, à l'heure qu'il est. Ça ne va pas du tout avec son travail et ça ne va pas du tout avec la relation qu'elle veut reconstruire avec sa grande fille. Voilà, le topo (rires).
Comment avez-vous vécu cette nouvelle intrigue ?
C'est même un petit peu plus qu'une intrigue, c'est vraiment un destin du personnage, on va dire. Je me suis dit que c'était génial. Franchement, j'étais très, très, très contente. Les auteurs me gâtent énormément et je me suis dit, encore un défi pour Ariane. Parce que la dernière fois, j'ai été accusée de meurtre, je me suis battue contre un agresseur sexuel à mon travail. Puis la découverte de ma fille qui était née sous X et Djawad et cette histoire complètement passionnelle et fusionnelle qui est aussi très agréable à jouer. Donc, il y a plein de choses qui font que je me régale. C'est encore un truc à faire qui va être super chouette.
Vous êtes vous-même maman (des jumeaux Bella et Jules). Qu'est-ce que cela vous fait de jouer une femme enceinte ?
C'est assez troublant. Parce que moi, je suis une comédienne qui me met complètement en immersion dans ce que je joue. Et quand on me donne quelque chose à faire, je ne fais pas semblant. Je le fais vraiment. Et donc, c'est vrai que là, ça me reprovoque les sensations que j'avais quand j'étais enceinte de Jules et Bella. Parfois, je sors de scène et je suis là en train de jouer la nausée. Et je me dis, 'c'est bon Lola, tu n'es pas enceinte'. (rires).
Que pensez-vous de l’évolution d’Ariane depuis votre arrivée dans la série ?
J'aime beaucoup son évolution parce qu'elle est arrivée en 2017. Moi, j'avais 34 ans, je débarquais à la télé et j'étais tellement contente d'intégrer Plus belle la vie. On me dit, tu vas jouer une raciste, une petite nana flic dans les quartiers nord et qui en est devenue raciste tellement elle a côtoyé des racailles, des voyous, etc. Et moi, je dis bon, ok, j'ai une maman qui est née en Algérie, à Oran, qui est moitié algérienne, moitié française. Je me sens très très proche plutôt à la base des personnages qu'Ariane détestait au début de la série. Donc, c'était très curieux pour moi de jouer ça mais l'évolution est géniale. Elle est devenue beaucoup plus cool, elle a cessé d'avoir ces idéaux qui étaient quand même très durs pour moi à jouer. Mais après, elle est quand même restée une tête brûlée, parfois sans foi ni lois quand il s'agit d'arriver à ses fins. Elle a ce côté têtu, ce côté sale gosse. Et ce côté-là, ils l'ont gardé et j'aime bien qu'ils ne l'aient pas trop édulcorée. Donc, elle a évolué dans le bon sens.
Quel avenir aimeriez-vous pour elle ?
J'aimerais qu'elle garde son bébé. Ça me plairait bien. J'aimerais bien qu'elle soit heureuse et qu’elle s’installe un peu dans une vie de famille. Mais pour l'instant, je ne sais pas si ça va se passer comme ça.
Et quel avenir pour vous dans la série, étant donné que cela fait maintenant 8 ans que vous y êtes ?
Je suis quelqu'un qui ne me projette pas trop. Je prends le moment comme il vient. Mais une chose est certaine, c'est que je fais toujours des choses à côté. Je fais de la musique, j'ai réalisé un film, j'ai bien envie de faire une pièce... J'ai des projets donc, c'est vrai que je n'arrive pas trop à me dire que je vais rester là et c'est tout. Ce n'est pas mon tempérament. Mais tant que je m'amuse dans Plus belle la vie et que je m'éclate et que j'aime ce que je fais, je resterai. Je fonctionne vraiment au feeling. Mais je n'ai pas de raison d'arrêter quelque chose qui me régale à ce point-là.
Qu’est-ce qui est le plus dur à tourner pour vous ?
C'était assez dur quand j'ai retrouvé ma fille au début de la première saison sur TF1 parce que ça faisait aussi écho à ma vie à moi qui n'a pas toujours été très simple dans les relations mère-fille, père-fille. Je n'ai pas eu une enfance des plus structurées et des plus stables. C'était un petit peu chaotique. J'ai un peu grandi dans le manque. Je n'étais pas vraiment avec mes parents mais beaucoup avec mes grands-parents. Ma vie a été un peu complexe et donc jouer une mère qui avait abandonné sa fille avec cette fille qui arrivait pleine de rage et de rancœur et de blessures, ça m'a un peu renvoyée à des choses intimes de ma vie à moi. C'était parfois un peu troublant aussi. Mais sinon, il n'y a pas vraiment de scènes qui sont dures à jouer pour moi. Mais comme je suis très investie et que quand je tourne j'ai parfois du mal à couper, à faire la différence, que je joue avec une urgence, c’est un peu fatigant. Et parfois ça m'émeut, ça me bouleverse parce que je me jette un peu corps et âme dans ce que je dois interpréter, dans ce que je dois faire croire.
Quels sont vos projets futurs ?
J’avais été prise sur une série belge avec un humoriste assez connu, mais je n'ai pas trop le droit d'en parler encore. J’aimerai aussi transformer mon court-métrage Maman fait la fête en long-métrage, car réaliser m'avait procuré beaucoup de joie. Puis j'ai envie de continuer à écrire, d'écrire une pièce avec mon mari et d'écrire, peut-être la suite de mon court-métrage. Continuer des projets de création, mais plutôt dans l'écriture et dans la réalisation.
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