Axel dit non à Gabriel : le mariage brisé par l’amour caché pour Thomas ? – Plus belle la vie 23 septembre 2025 (épisode 426 – résumé complet PBLV)

 Découvrez le résumé détaillé de Plus belle la vie en avance du mardi 23 septembre 2025 avec l’épisode 426 avec Axel brise le silence, Gabriel (Jaokim Latzko) n’a jamais cessé d’aimer Thomas (Laurent Kérusoré).



Axel a le coeur brisé, il dit à non à Gabriel …il lui dit qu’il sait pourquoi


Plus belle la vie en avance : Barbara prête à tout

 


Louis provoque la panne pour que Gabriel et Thomas discutent


Barbara est en boucle avec Louis sur le baiser de Gabriel à Thomas la veille de leur mariage. Barbara pense que c’était un baiser profond et sincère. Elle veut absolument que Gabriel et Thomas se parlent avant le moment fatidique. Mais Louis la prévient… elle risque de mettre le gros bazar.

Axel trouve Gabriel inquiet, il met ça sur le compte du stress de l’organisation.

Pendant ce temps, Thomas prépare Gabriel au Mistral : il l’aide à s’habiller. Barbara a annulé le chauffeur, et c’est Louis qui les conduit.


En aparté, Barbara supplie Thomas de ne pas laisser Gabriel filer. Pour elle, c’est l’homme de sa vie. Mais Thomas refuse : ce n’est que de la nostalgie, et surtout… il est trop tard.

Barbara ne renonce pas : plan B. Louis provoque une crevaison et fait durer le changer de pneu, et surtout, Gabriel et Thomas n’ont plus leur téléphone… que Barbara a pris exprès.



Baptiste fait connaissance avec Axel


Dans la voiture, Gabriel minimise le baiser, pour lui c’était un égarement. Mais Thomas rétorque : « C’était naturel pourtant ». Entre doute et vérités cachées, la discussion tourne à la dispute.

De son côté, Mathis gaffe devant Axel et Gladys : en voyant un couple s’embrasser, il lâche que « c’est comme papi Gabriel et papi Thomas ». Une révélation lourde de sens.


Plus belle la vie 23 septembre 2025 : Axel a échoué



Léa devait marier Axel et Gabriel


Axel est de plus en plus en stress : suite à la panne orchestrée, Gabriel et Thomas accusent un gros retard.

La tension monte encore quand Boher débarque au mariage : une plainte a été déposée pour car-jacking car Thomas a arrêté une voiture pour arriver à temps.



Boher embarque Thomas


Avant la cérémonie, Axel confronte Gabriel. Celui-ci le rassure : « Je te promets qu’il n’y a plus rien avec Thomas ». Axel lui avoue son amour et son désir de le voir heureux. Gabriel lui répond : « Alors, allons nous marier ».

Mais au moment des vœux, Axel dit “non” à Gabriel. C’est le drame.

Gladys accuse Gabriel d’être une planche pourrie, elle le savait depuis le début.

Puis Boher embarque Thomas pour le car-jacking. Gabriel décide de l’accompagner, puisqu’il faisait partie du plan. Pendant ce temps, les mistraliens continuent la fête autour des petits fours.

 


Léa et Barbara heureuses au final que Gabriel et Thomas restent liés


Finalement, le mariage avorté se termine en garde à vue. Dans ce huis clos, la vérité éclate : Gabriel avoue à Thomas qu’il n’a jamais cessé de l’aimer, même quand ils se déchiraient pour le divorce. Il lui propose une nouvelle chance. Thomas accepte… mais à une condition : qu’il ne le demande plus jamais en mariage.



Thomas et Gabriel s’embrassent en garde à bue


📌 Quels sont les moments forts de l’épisode de Plus belle la vie en avance (TF1) du 23 septembre 2025 ? en bref PBLV épisode 426


Barbara manipule Thomas et Gabriel après leur baiser en espérant qu’ils s’avouent leur amour

Baptiste tout comme Luna, Jennifer, Mirta ou encore Léa sont perturbés de ce qui s’est passé

Axel finit par dire « non » à Gabriel en plein voeu de mariage, créant un choc total parmi les invités

Gabriel avoue à Thomas qu’il l’aime encore et lui propose une seconde chance en pleine garde à vue suite au car-jacking.


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EXCLU Cécilia Hornus se confie sur l'avenir de son personnage dans Plus belle la vie : "J'aimerai beaucoup que..."


 Elle incarne l'un des personnages historiques de "Plus belle la vie". Cécilia Hornus apparaît au casting de la série depuis les tous débuts, en 2004. Pour "Ecojoy.online", la comédienne fait le point sur son évolution, ses dernières intrigues intenses et sur ce qu'elle imagine pour la suite.



Depuis plus de vingt ans, Cecilia Hornus s'impose dans le milieu du petit écran grâce à son rôle de Blanche dans Plus belle la vie. C'est en 2004 qu'elle a rejoint la série populaire, diffusée jusqu'en 2022 sur France 3 et c'est sans hésitation qu'elle a décidé de le reprendre en 2024 lorsque le feuilleton a été récupéré par TF1 et rebaptisé Plus belle la vie, encore plus belle.


En autant d'années, Cecilia Hornus aura naturellement joué de nombreux rebondissements, jusqu'à encore tout récemment. En interview pour Ecojoy.online, elle se réjouit d'être toujours autant gâtée par les auteurs, fait le point sur son parcours et évoque le futur qu'elle imagine pour son personnage. Rencontre !


Vous avez été au cœur d’une intrigue très émouvante, autour de la fin de vie, lorsque le personnage de David Brécourt a eu recours à un suicide assisté. Comment l’avez-vous vécu ?


Déjà, j'étais très contente qu'on me l'offre, parce que c'est un sujet délicat, qui a été vraiment à l'ordre du jour, cette année, au point de vue de la politique en France. Tout le monde se pose des questions sur la fin de vie. Il y a beaucoup de gens qui ont des avis tranchés, mais il y a aussi beaucoup de personnes qui n’ont pas tous les tenants et les aboutissants. C'est tout l'intérêt de Plus belle la vie. De donner un éclairage nouveau sur un fait de société qui concerne tout le monde. Du coup, ça porte un débat, donc c'est très intéressant. Après, c'était évidemment très intense émotionnellement. Parce que dans l'histoire, Blanche a un amoureux qui va décider de mettre fin à ses jours parce qu'il est très malade. Elle va comprendre, bien sûr, mais elle va avoir tout un chemin vers l'acceptation.


Est-ce que vous avez eu des retours par rapport à cette histoire ?


Bien sûr. J'ai eu énormément de courriers. Donc c'est vrai que c'est très valorisant parce qu'on se dit, voilà, le feuilleton est plébiscité et regardé par beaucoup de personnes. Mais là, on se rend compte que ce n'est pas juste comme ça. Ce rendez-vous qu'on a créé avec le public, il est intéressant justement dans ce genre de situation-là. 


De quoi expliquer la longévité incroyable de Plus belle la vie ? 


Bien sûr, on est en prise avec l'actualité. Et ce qui est intéressant, c'est le mélange entre le suspens, le policier, qui est bien sûr indispensable au feuilleton pour avoir ce côté frisson ou ce côté enquête. En même temps, il y a les histoires d'amour ou de la comédie, et puis le côté sociétal qui est vraiment l'ADN de la série, j'ai envie de dire. Donc c'est hyper important de pouvoir défendre ça. Et je pense que ce mélange de tout ça, et puis le côté qu'on soit bien sûr intergénérationnel, fait que c'est magnifique.


Que pensez-vous de l’évolution de Blanche depuis votre arrivée dans la série, en 2004 ?


C'est très intéressant parce que Blanche a à peu près mon âge, on va dire. Donc on est dans le même monde. On est à peu près du même milieu social et forcément, il y a des échos dans ma propre vie. Et puis il se trouve quand même qu'il y a toujours une interaction aussi avec les auteurs. Au début de la série, ils écrivaient pour nous, ne sachant pas trop, évidemment, comment les choses allaient devenir. Et puis ils ont appris à nous connaître. Ils ont aussi appris à voir ce qu'on donnait. Donc, ils sont mis à écrire de plus en plus de choses. Et Blanche a vécu bien sûr énormément de choses, autant dans la comédie, dans la romance, que dans le drame, que dans le policier. Elle a eu une vie où elle aborde un peu tous les genres, si vous voulez. C’est ce qui est beau.


Autant de palettes de jeu qui ont contribué à vous faire rester toutes ces années ?


Bien sûr ! Évidemment, c'est vraiment, Blanche. Je dis souvent, c'est comme ma meilleure amie, comme une sœur en fait. Parfois, il m'est arrivée de jouer des choses qui étaient plus difficiles où je me disais que ce n’était pas évident de jouer ça. Et puis parfois, je me suis dit que c'était super ce qui lui arrivait. Il y a vraiment un compagnonnage, main dans la main entre moi et ce personnage. Et puis évidemment, par ricochet, avec tous mes camarades de jeu, en tout cas les principaux et ceux qui restent. Des personnages comme celui de Thomas, celui de Luna... C'est magnifique. Il y a comme un air de famille si vous voulez. Donc c'est très satisfaisant. Et puis, je suis un peu la seule dans ma génération dans la série. Donc, il y a cette responsabilité aussi de raconter des choses qui vont toucher les femmes. C’est important de pouvoir développer des choses pour les personnages et pour les femmes de ma génération.


Quel avenir aimeriez-vous pour Blanche ? 


Je pense à plein de choses. Son décor dans Plus belle la vie, encore plus belle, est un décor associatif. C'est un pavillon qui priorise les problèmes des femmes, ceux des personnes en difficulté, et isolées aussi. Je pense que du point de vue de ce personnage qui est très positif, qui est très fort, il y a plein de choses à raconter pour venir en aide à des personnes. Après, j'aimerais beaucoup que mes enfants reviennent, mais là, ça dépend de leur emploi du temps, évidemment. Pourquoi pas une nouvelle histoire d'amour ? Il y a plein de choses à traiter. Et puis le bonheur de jouer avec mes copines : Léa-François, Diane Dassigny, Anne Decis…


Qu’est-ce qui est le plus dur à tourner pour vous ? 


C'est plutôt des histoires. Après, quand il y a des défis à jouer, c'est toujours formidable. Nous, on est toujours très heureux d'avoir des choses d’un coup de comédie ou qui sortent de l'ordinaire, des moments de grosses crises énormes. Il y a parfois des histoires très compliquées, mais toujours bien développées. Donc, bravo aux auteurs qui arrivent toujours à faire ressortir ce qu'il faut du point de vue psychologique et affectif et qui nous donnent beaucoup de palettes pour jouer.


Les tournages peuvent vite s’avérer fatigants, comment restez-vous en forme ? 


Je fais du sport, je marche beaucoup. À Marseille, c'est merveilleux parce qu'on a la mer en plein centre-ville. Donc, c'est toujours un moment de détente, de relâchement, surtout quand on travaille beaucoup, d'aller se promener un petit peu au bord de l'eau, écouter les oiseaux, écouter la mer et la lumière de Marseille qui est vraiment formidable. Après, j'ai beaucoup d'amis qui habitent là-bas. On peut aussi se retrouver parfois le soir mais en vrai, on se repose. Il faut se reposer. Il faut revoir les séquences le soir pour le lendemain. Etre bien dans sa tête. Ce n'est pas un métier où on peut faire n'importe quoi.


Plus belle la vie, c’est aussi une grande famille, marquée malheureusement par des disparitions tragiques. Comment cela a-t-il été vécu en coulisses, avec le reste du casting et l’équipe de la série ?


Ça a été des moments très compliqués. Heureusement, on était tous ensemble. Après, il n'y a qu'à respecter le choix des personnes. Mais ils sont avec nous. Ils sont avec nous dans les décors, Michel (Cordes, ndlr) et Marwan (Berreni, ndlr). Ils sont en photos. Ils sont là. On en parle de temps en temps aussi. Ils ne nous quitteront jamais. 


Quels sont vos projets ?


J'ai des projets de théâtre qui sont en train de se développer, notamment avec mon mari Thierry Ragueneau, sur une pièce à deux. Et puis, peut-être une reprise du spectacle La guerre n'a pas un visage de femme, qui a été un très beau spectacle qu'on a joué il y a deux ans à Avignon, d'après le prix Nobel de littérature 2015. En parallèle des tournages, il y a toujours le théâtre. Et après, j'espère qu'il y aura aussi des castings. L'année dernière, j'étais sur la série Simon Coleman, je me suis régalée. De temps en temps, je participe aussi à des unitaires ou à d'autres séries, et j'adore ça.


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"Si Plus belle la vie n'avait pas pris la décision pour moi..." : Sara Mortensen revient sur son éviction de la série de France 3


 Révélée dans Plus belle la vie sur France 3 entre 2012 et 2019, Sara Mortensen a pourtant dû abandonner son personnage de Terminator avant d'être remplacée par une autre comédienne. Un souvenir encore vif sur lequel elle a accepté de revenir pour nous...



Sara Mortensen était à l'affiche ce lundi 16 septembre de Filip, le biopic inédit proposé par TF1, qui revenait sur les dernières années du leader des 2Be3. Dans la fiction, elle incarnait Valérie Bourdin, la compagne du chanteur, mais aussi la mère de sa fille Sasha, et de sa belle-fille Tanelle. Ce téléfilm en deux parties était librement adapté de l'ouvrage Filip, pour la vie (éditions du Rocher). Un nouveau rôle s'ajoutant aux nombreux autres depuis la fin de sa participation à Plus belle la vie, dans laquelle elle jouait Coralie Blain entre 2012 et 2019.


"Si Plus belle la vie n'avait pas pris la décision pour moi...", Sara Mortensen revient sur son éviction de la série de France 3

Si l'actrice n'est plus réapparue dans le feuilleton de France 3 à partir de 2019, son personnage a perduré, mais avec une autre comédienne, Coralie Audret. Un souvenir encore douloureux pour la star d'Astrid et Raphaëlle, comme elle nous l'a confié. "Si Plus belle la vie n'avait pas pris la décision pour moi, j'y serais peut-être encore. Ce rôle était incroyable. J'ai adoré "s'enthousiasme-t-elle avant d'analyser "Je pense que ça se serait mieux passé (pour le personnage de Coralie ndlr) si je n'avais pas été remplacée par une autre, bizarrement... C'est étrange quand au bout de sept ans, c'est une qui ferme la porte, et une autre qui l'ouvre. Mais bon, ce sont des choix de production. On ne peut pas juger les décisions".


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S'il est un rôle qui a véritablement marqué la carrière de Sara Mortensen, c'est bien celui-là. "Ca fait des années que j'ai arrêté cette série, mais je reçois encore tellement d'amour pour ce personnage. Il y a encore beaucoup de gens qui m'arrêtent dans la rue pour Plus belle la vie." conclut-elle, entre sourire et émotion.

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